Comment j’ai abordé les zombies américains et décidé de les laisser en paix

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La quatrième de couverture est alléchante : « Sombrement drôle, étrangement touchante et plutôt saignante, l’odyssée du premier mort-vivant contestataire de l’Histoire vous fera probablement mourir de rire ».
Toute personne décidant de figurer enfin sur la liste des meilleures ventes devrait engager la personne qui a rédigé cette page.

Résumons l’argument : un certain nombre de morts ressuscitent et forment une communauté que les vivants ressentent comme menaçante (ben tiens…). Putréfaction, bains d’eau de Javel, rejet des « respirants » et thérapie de groupe, voilà le quotidien d’Andy.
J’avais cru lire du Stephen King mâtiné d’humour anglais. Las ! Je n’ai pas ri.
Au bout d’une centaine de pages j’ai rendu les armes. Je laisse ce livre aux aficionados de l’horreur, très jeunes de préférence, je crois que c’est le créneau.

Comment j’ai cuisiné mon père, ma mère… et retrouvé l’amour
Scott G. Browne
Traduit de l’américain par Laura Derajinski
Mirobole éditions, mai 2013, 21 €
ISBN : 979-10-92145-06-9

(Vu 140 fois)
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3 réflexions sur « Comment j’ai abordé les zombies américains et décidé de les laisser en paix »

  1. Malou

    Coucou Nicole !
    Je viens de prendre connaissance de ta réponse. J’espère que tu ne m’en veux pas pour ma franchise. Ceci dit, il est possible que la rencontre ne se soit pas faite entre moi et ce livre car ce n’était pas le bon moment. La lecture d’un livre c’est comme une rencontre, cela accroche un jour donné ou bien un peu plus tard en fonction de son état d’esprit de l’instant. Ce que tu m’en dis m’inspire pour une lecture ultérieure. Je te rendrai compte alors de mes ressentis. Bises Nicole et à bientôt.

  2. Malou

    Et bien Nicole, voilà un livre que je ne lirai pas, merci pour ta chronique. Sais-tu que sous ton influence, j’ai téléchargé sur ma liseuse Lovita broie ses couleurs. Désolée mais je ne suis pas entrée dans ce livre. Au bout de quelques pages, j’ai décroché…cette image du sang m’a déboussolée. J’aurais peut-être dû persévérer. Je verrai plus tard mais tant de livres m’attendent… bises.

    1. Nicole Auteur de l’article

      Chère Malou,
      Je suis partagée entre deux sentiments: le plaisir que tu aies eu la curiosité de vouloir découvrir Lovita broie ses couleurs et la déception que le livre ne t’aie pas plu.
      Je reconnais que les premières pages sont plutôt dures, mais par la suite c’est terminé.
      Lovita n’est pas une histoire sanglante mais un roman sur la filiation, sur les origines, sur l’amitié aussi. Et c’est un livre drôle! Tant pis, je regrette mais je comprends tes raisons. Bonnes futures lectures, Malou!

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