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Dans ce roman nous faisons la connaissance de Han van Meegeren, peintre de talent et faussaire de génie. Pendant la seconde guerre mondiale ce dernier amassa une fortune colossale en vendant de faux Vermeer aux plus grands musées et collectionneurs de son pays, la Hollande. Le mécanisme se grippa lorsqu’il fut contraint de vendre un faux Vermeer à Hermann Göring. En 1945 ce tableau attira l’attention des experts artistiques des Alliés lorsqu’on trouva la collection du Maréchal,  et ce fut le début des ennuis.
Han van Meegeren a été obligé de reconnaître la paternité de ce faux,  mais pourquoi se saborda-t-il en dénonçant ses autres faux et en apportant des preuves dont personne ne voulait ? Il ne pouvait ignorer que cela provoquerait sa ruine.

La Perle des faussaires plonge dans le monde de l’art, ses petitesses, ses manipulations et ses manœuvres financières. C’est également la recherche des failles intimes de cet homme complexe, véritable héros de roman, qui fit faire – grâce à l’extrême sophistication de ses faux – d’énormes progrès à la science et qui donne encore de nos jours des sueurs froides à bien des directeurs de musées.

La Perle des faussaires, Plumitive Éditions, octobre 2024 : broché et Kindle chez Amazon, EPUB à la FNAC et chez Kobo

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