La voix éraillée de Philippe Léotard, les vers d’Aragon et la chanson de Léo Ferré : un cocktail bouleversant.
Est-ce ainsi que les hommes vivent ? s’interroge Louis Aragon ; et l’absurdité de la vie, et la douleur et le bonheur d’aimer sont repris par ricochets : les chansons de Léo Ferré, les reprises de Lavillier ou de Léotard…
Les deux sont très belles, mais la fragilité, la voix détruite de Philippe Léotard ajoutent un sel amer et indispensable sur les interrogations de Léo Ferré et de Louis Aragon.
Toutes les chansons/poèmes d’Aragon sont merveilleuses, surtout lorsqu’elles interprétées par Léo Ferré, celle-là est une exception
bonnes vacances, Nicole
J
Je ne sais pas si on peut tout prendre en bloc d’un créateur, quel que soit son talent, Jacques. Il arrive que la rencontre entre un texte et une personne inattendue crée une richesse supplémentaire. Comme c’est le cas ici. Bonne fin d’été, Jacques!