Lorsque j’ai lu l’article de Polina Aronson dans Courrier international, il y a quinze jours, j’ai été partagée entre la stupeur et la compassion.
Les photos de l’article montraient une mariée traditionnelle radieuse, robe et bouquet blancs, chevelure et maquillage de mariée, diadème de strass dans les cheveux. L’Italienne Laura Mesi célébrait en septembre le plus beau jour de sa vie selon l’expression usée jusqu’à la corde.
Cérémonie traditionnelle, pétales de fleurs jetés sur la mariée traversant la salle, multiples photos des invités. Inutile de chercher le marié, Laura célébrait son mariage avec elle-même. Un auto-mariage.
Si vous voulez plus de détails, ainsi que le « poids des photos » reportez-vous à l’article de Ouest France, vous aurez votre content de saugrenu.
Après les selfies et leurs perches, le mariage célébré dans tous les atours traditionnels, jusqu’au kitsch, à l’absurde. Continuer la lecture